Bavard'age de Raison...

Bavard'age de Raison...

L'insoutenable légèreté de "Lettre"

Chers lecteurs muets, chères lectrices timides, je reviens vous faire mon intéressant afin de partager avec vous une nouvelle  farandole lexicale, toujours ponctuée de cette fiente de l’esprit qui vole, caractéristique des personnes qui comme moi aime triturer la langue française dans tous les sens et contre sens pour en faire jaillir au pire un sourire au mieux un éclat de rire…

Notez d’ailleurs l’expression « toujours  ponctuée » !

En voilà une belle expression chère à Bernard Pivot à l’époque épique où il présentait la dictée.

Et il faut avouer, d’ailleurs faute avouer est à moitié pardonnée, que c’était vachement bien cette dictée de Monsieur Pivot.

Evidement, plus amusante à faire qu’à regarder, mais sans cafter j’ai eu une connaissance qui était très forte à ce genre d’exercice.

 

Je vous jure, un jour elle n’a fait que 3 fautes à la dictée de  Monsieur Pivot … 2 à dictée et une à Pivot !

 

Mais pour en revenir, point d’exclamation, à la ponctuation, convenez avec moi que c’est très important de ne pas l’oublié dans une belle page d’écriture !

Parce ce que sans ponctuation on ne sait plus où s’arrêter.

Je vous  dis ça, parce qu’aujourd’hui, dans la modeste radio où j’ai repris du service et où l’on m’interdit toute saillie textuelle, tout en me demandant de contrôler mes fulgurances cérébrales de pitre péripatétique, et bien tenez vous bien … Non tenez vous bien je vous prie !

Bien figurez vous que j’ai reçu une lettre anonyme !

Une lettre fort joliment calligraphié d’une belle écriture,  m’a délicatement écris en bleue sur un vélin d’arche au grain très fin :

 -« Je vous aime… »

 

Mais, il n’y avait ni signature, ni coordonnées, et encore moins de majuscule, ni de point final !

Comprenez mon embarras je ne sais désormais plus où je dois m’arrêter.

C’est pour cela que c’est important de ponctué sont effort et de le signer re-point d’exclamation !

Notés tout de même au passage  que c’est fou le nombre d’étourdis que l’on rencontre chez les personnes courageuses!

  

 

C’est vrai il faut ponctuer, en particulier ses efforts comme le rapporte cette dépêche du courrier international  relative à un ouvrier peintre Argentin qui à 44 ans et déjà : 37 enfants !

Alors cet argentin à la testostérone débordante a demandé à l'Etat l'autorisation de se soumettre à une vasectomie pour arrêter de procréer,  car il faut savoir qu’en Argentine, pays ou la bourse est vacillante, il faut demander une autorisation pour ce genre d’intervention.

C’est donc dans quelques jours et après 37 enfants que notre argentin au sang chaud pourra mettre un point final à sa sexualité et cela vous en conviendrez pour le plus grand bonheur de son épouse, point de suspension…  



04/08/2012
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour